Le système bancaire français est indispensable à la bonne marche de l'économie. Il est composé d'entreprises qui se classent parmi les plus performantes d'Europe, et qui recrutent activement. Imaginez votre vie sans systeme bancaire. Comment percevriez-vous votre salaire ? Comment pourriez-vous obtenir de quoi manger, vous loger, vous vêtir, etc. ? Comment pourriez-vous conserver en sécurité chez vous l'argent de vos économies ? Bref, on pourrait multiplier les exemples tant il est clair que la banque constitue un rouage essentiel et même indispensable de notre économie.
Pour mieux comprendre le rôle de la banque, on pourrait prendre une image et dire que la banque est un peu à l'économie ce que l'eau est à la vie. On en a besoin partout, mais chacun sait bien que pour la capter, pour la distribuer, pour la recycler, il est nécessaire de mettre en oeuvre des moyens matériels et humains considérables. C'est pour cette raison que l'activité bancaire constitue une véritable industrie.
Pour mieux comprendre le rôle de la banque, on pourrait prendre une image et dire que la banque est un peu à l'économie ce que l'eau est à la vie. On en a besoin partout, mais chacun sait bien que pour la capter, pour la distribuer, pour la recycler, il est nécessaire de mettre en oeuvre des moyens matériels et humains considérables. C'est pour cette raison que l'activité bancaire constitue une véritable industrie.
Avant les années 1960, beaucoup de Français n'avaient pas de compte. De nombreuses entreprises payaient encore leurs salariés en espèce ou avec un chèque que l'on pouvait toucher en argent liquide au guichet d'une agence, et les besoins bancaires des particuliers se limitaient souvent à un livret d'épargne.
La mensualisation des salaires et l'élévation du niveau de vie ont fait considérablement évoluer la demande de produits et de services bancaires tandis que le développement de l'informatique a permis aux établissements bancaires de développer l'offre. Parallèlement, les banques ont massivement embauché dans les années 1970 à mesure qu'elles commençaient à développer leur activité en dehors du secteur réglementé, c'est-à-dire en proposant des produits différents de ceux des autres enseignes.
Un très grand nombre de produits et de services bancaires ont donc fait leur apparition dans un contexte de concurrence de plus en plus vive. Les banques ont évolué en quelques décennies et sont maintenant des entreprises de service à part entière. Parallèlement, sur la même période, les banques nationalisées sont devenues des entreprises privées.
Le système bancaire français s'appuie sur des réséaux et des effectifs toujours en croissance. En 2006, les réseaux bancaires étaient constitués de près de 40 000 agences tous établissements confondus. Ces réseaux employaient près de 437 950 personnes, y compris les 27 466 salariés employés dans les sociétés financières.
L'ensemble ainsi constitué représente le 3ème employeur privé en France. Pour fixer les esprits, on peut aussi noter que le secteur bancaire représente, en termes d'effectifs, un secteur à peu près de même taille que l'ensemble formé par les médecins (207 200), la police (145 800) et la gendarmerie nationale (105 300). Le secteur bancaire français a contribué à 2,8 % du PIB en 2005, selon l'Insee. À titre de comparaison, l'industrie automobile y a contribué à hauteur de 1 %, l'industrie agro-alimentaire à hauteur de 1,8 %, et l'ensemble de l'énergie, à 2 %.
En développant sa rentabilité, c'est un secteur économique dynamique qui a su dans une grande mesure, préserver son indépendance nationale. Mieux, les banques françaises sont maintenant souvent citées en référence en Europe et dans le monde, parce qu'elles ont su faire progresser leurs résultats en réduisant fortement leurs prix de revient et aussi en développant une activité internationale. La vérité des prix vers laquelle elles tendent, et la répercussion aux clients du coût des travaux effectués pour leur compte, contribuent aussi, mais dans une moindre mesure, à redresser la rentabilité du secteur bancaire.
CF: http://www.lesclesdelabanque.com
La mensualisation des salaires et l'élévation du niveau de vie ont fait considérablement évoluer la demande de produits et de services bancaires tandis que le développement de l'informatique a permis aux établissements bancaires de développer l'offre. Parallèlement, les banques ont massivement embauché dans les années 1970 à mesure qu'elles commençaient à développer leur activité en dehors du secteur réglementé, c'est-à-dire en proposant des produits différents de ceux des autres enseignes.
Un très grand nombre de produits et de services bancaires ont donc fait leur apparition dans un contexte de concurrence de plus en plus vive. Les banques ont évolué en quelques décennies et sont maintenant des entreprises de service à part entière. Parallèlement, sur la même période, les banques nationalisées sont devenues des entreprises privées.
Le système bancaire français s'appuie sur des réséaux et des effectifs toujours en croissance. En 2006, les réseaux bancaires étaient constitués de près de 40 000 agences tous établissements confondus. Ces réseaux employaient près de 437 950 personnes, y compris les 27 466 salariés employés dans les sociétés financières.
L'ensemble ainsi constitué représente le 3ème employeur privé en France. Pour fixer les esprits, on peut aussi noter que le secteur bancaire représente, en termes d'effectifs, un secteur à peu près de même taille que l'ensemble formé par les médecins (207 200), la police (145 800) et la gendarmerie nationale (105 300). Le secteur bancaire français a contribué à 2,8 % du PIB en 2005, selon l'Insee. À titre de comparaison, l'industrie automobile y a contribué à hauteur de 1 %, l'industrie agro-alimentaire à hauteur de 1,8 %, et l'ensemble de l'énergie, à 2 %.
En développant sa rentabilité, c'est un secteur économique dynamique qui a su dans une grande mesure, préserver son indépendance nationale. Mieux, les banques françaises sont maintenant souvent citées en référence en Europe et dans le monde, parce qu'elles ont su faire progresser leurs résultats en réduisant fortement leurs prix de revient et aussi en développant une activité internationale. La vérité des prix vers laquelle elles tendent, et la répercussion aux clients du coût des travaux effectués pour leur compte, contribuent aussi, mais dans une moindre mesure, à redresser la rentabilité du secteur bancaire.
